Semi marathon de Rambouillet

Le 10 mars 2024 se déroulait le Semi marathon de Rambouillet. Voici le retour de Pierre Vaillant:

Suite à ma participation à la C3PO, je souhaitai faire une préparation semi pour descendre mon temps de référence précédant (1h35min 50 sec) et arriver à réaliser une course constante. J’ai donc suivi une fois de plus un plan du coach Babass (merci)!

A la fin de ce plan, je me sentait prêt à tenir les allures visées à l’entrainement.

Connaissant bien les lieux, j’avais repéré les zones où pouvaient se positionner ma famille venue me soutenir.

Au moment du départ, je me suis vite retrouvé avec des personnes ayant la même allures que moi. Ce qui m’a permis de me mettre dans ma course. Une fois lancé, les kilomètres défilent et le ravitaillement du 10 km arrive vite avec son lot d’encouragement. Le parcourt ne formant qu’une seul boucle, je me dis qu’il ne reste plus qu’à rentrer!

C’est à partir du 15ème km que la course se durcit pour moi car je sens que musculairement, ça commence à tirer. Le mental prend bien le relais pour tenir les allures, jusqu’à la ligne d’arrivée même si l’envie de ralentir m’a traversé l’esprit plusieurs fois.

Un chrono final de 1h 33min 05sec soit 3 min de gagner! Je suis soulager et content que la course se soit plutôt bien passé dans l’ensemble. Merci à ma famille, au club et à tous ceux qui m’ont soutenu de près ou de loin!

Championnat de France de Marathon dans le Golfe de St Tropez

Le dimanche 24 mars se déroulait le Championnat de France de Marathon dans le Golfe de St Tropez !
Voici le retour de Laurence Boucher :

C’était une course difficile avec beaucoup de vent et du dénivelé (340 d+\d-)… mais avec une sacrée prépa et l’envie de faire de mon mieux !
3h20 !

28ème au scratch et 8ème de ma catégorie d’âge
Merci à tous ceux qui me soutiennent de près ou de loin ❤️
Trop trop contente 😍


Course des 3 ponts (C3PO)

Voici le retour de Maguy :

Après ma 1ère course de « La Fleuryssoise » avec le club  » où j’ai courru les 10kms en 1h07, je me suis inscrite à la C3PO avec ma moitié, Morgan, qui m’a dit que j’étais capable de le faire en moins de 1 heure.

Me voilà donc dans le SAS de départ des +de 45minutes avec Aurelie, Stéphanie, Dominique, Morgan et d’autres du club…je suis très stressée car ma plus grande peur c’est d’avoir un point de côté.

Il y a une superbe ambiance et un monde fou !!!

Le départ est donné, Morgan me dit de ne pas aller trop vite car je suis emmenée par la foule…et surtout je ne vais pas tenir à se rythme là !!

Pas de point côté à l’horizon, et je me sens plutôt bien !

La montée du pont Thinat au 8kms va quant à elle, être un vrai calvaire pour moi, elle m’a coupé les jambes… 

j’ai eu beaucoup de mal à me relancer, mais j’avais un objectif : le faire en moins d’une heure, alors on se remotive !!!

Le dernier kilomètre me paraît interminable et quand j’arrive au dernier virage avant l’arrivée, l’arche me paraît encore plus loin qu’au départ (ils ont du la déplacer ce n’est pas possible autrement )…Morgan me dit d’accélérer mais j’ai l’impression de faire du surplace.

Je finis tout de même ma course en 57’04.
Objectif atteint! Merci à ma moitié d’avoir fait mon lièvre pendant tout le parcours et merci à Nathan, Lily, Charlyne, Cléa, Maé, Ludivine, Arthur et Juliette pour leurs encouragements !!!!

Belle aventure à refaire 

Gainathon 2023

Une belle réussite pour cette 1ère édition de ce Gainathon organisé par Chaingy Sport Nature ce dimanche 10 décembre 2023.

En 3h de temps 10h52’30’’ de gainage cumulé. Une cinquantaine de personne ont participé (49 exactement) en solo ou en famille, des performances allant de 15 secondes à 1h de 5 à 60 ans.

Un enchaînement de performances et de dépassement de soit pour certain. Cela nous a permis de récolter 252€ de dons. Ce fut un très bon moment sportif partagé pour la bonne cause.

Les foulées du dragon

Voici le retour d’Aurélie:

La foulées du dragon a été une course très bien organisée par les runneurs chapellois pour la 1ere édition.

Me voici engagée sur les 8 km avec les copines, vero, Jennifer, Mélanie, Cécile, Anne so, et les copains Florent, Pierre Louis et Nicolas.

Un tracé bien connu de nos baskets puisque c’est par ici que nous passons souvent le dimanche matin.

Le départ est donc donné à 9h, longeant les bords de Loire, on repasse par la zone de départ où l’on retrouve nos 1ers supporters. Un petit tour vers l’église où Greg et David nous encouragent à leur tour. C’est ensuite qu’arrivent les 1eres marches à côté de l’église, c’est la 1ere difficulté. Mes cuisses ne sont pas faites pour les marches !
On retourne vers les bords de Loire où l’on passe par les petits pavés, légèrement glissants mais ça passe et on relance !

Puis arrive la zone de baignade ! Les jours précédents ayant étaient pluvieux, nous sommes heureux de plonger les pieds dans l’eau glacée sans réfléchir, ni même essayé de dévier le chemin !
Motivée, il reste à peine 2 km, moins d’un tour de ribaudiere, on tient le bon bout.

La dernière difficulté arrive, de nouveaux escaliers bien raides, bien trop raides en fin de course !! Arrivée en haut, c’est presque fini, j’entends « maintenant tu cours, c’est que de la descente »… je ne réfléchis plus, je cours et franchit la ligne d’arrivée, très étonnée du temps affiché car je n’avais pas regardé ma montre pendant la course.
Tous arrivés, tous fiers de notre course, nous laissons la place aux enfants de l’école de sport sur le 1000m ainsi qu’aux copains sur le 16 km.

Voici le retour de Sophie :

Dimanche 19 novembre, direction les Foulées du Dragon à la Chapelle pour le 16km. Mon objectif : 1h30 maxi. Je rejoins Stéphanie, Julien, Pierre, Valéry, Olivier, Thierry, Dom et Damien ( pour qui c’ est son 1er 16km).

10h30, c’est le départ, direction le terrain de BMX, puis la digue et l’église avec les 1ères marches. Je suis avec Dom sur plusieurs km, nous avons une allure moyenne de 5.20/km.
Après le pont de l’autoroute , le terrain devient plus humide , j’essaie d’éviter l’eau en passant par le côté du chemin mais finalement c’est trop glissant, j’opte pour le bain de pieds . Les pavés arrivent puis enfin les fameuses marches de la porte du dragon ;

j’entends les encouragements de Gaëlle et Eric ! Dur dur les escaliers !!!! Et la 1ere boucle se clôture par une belle descente .

Une de mes appréhensions sur cette course était de faire 2 fois la même boucle. Finalement ça n’a pas été un problème, mis à part la partie depuis l’église jusqu’aux bords de Loire qui m’a parue longue car remontées, redescentes, re-boue, repavés et re escaliers. Mon objectif est atteint : 1h27.
C’était vraiment une très belle course, avec un terrain varié, une bonne ambiance et une superbe organisation.
Merci à tous nos supporters de CSN et nos familles d’être venus nous encourager, c’était vraiment top !

Semi-marathon de L’Indien

Voici le retour d’Alexandre Pain:

En m’inscrivant, mon objectif était de faire mieux qu’à Vierzon au mois de février dernier où j’avais réalisé 1h50’12 » en préparation du Marathon de Paris. Je n’ai pas fait de préparation spécifique semi, mais je m’inscris en continuité de ma prépa trail. Vu les dernières séances d’entrainement, je planche sur 5’05 »-5’10 » pour l’allure de croisière. Je tiendrai cette allure jusqu’au 15ème kilomètre avant de fléchir un poil jusqu’au 19ème. Les 3 derniers me permettront de compenser un peu cette faiblesse pour finir en 1h47’50 ». J’améliore donc ma marque de plus de 2 minutes, avec de biens meilleures sensations et surtout les encouragements de supporters en folie dont notre Dom international. De très belles performances de chaque coureur de Chaingy Sport Nature avec des jeunes particulièrement prometteurs.

Voici le retour de Christophe Duvallet :

Comme toujours sur une ligne de départ : des doutes. 6 mois sans manger du bitume, un plan court plutôt respecté et l’exigence d’un rythme au seuil sur 1h30 qui nous attend.

Pour moi, c’est une première ce parcours en 2 boucles, car plutôt habitué à cette longue promenade automnale vers Marcilly en Vilette réalisée plusieurs fois.

Partis en duo avec Babass sur un objectif de #1h30, les 17 premiers km se passent bien, ou nous alternons en tête du petit groupe qui s’est formé. Le ravito du 17 sera pour moi le début d’un passage difficile qui durera tout le tour du lac. Babass s’envole et moi je pioche ! Finalement 1:30:30 à l’arrivée, encore une nouvelle catégorie qui passe M4 !

Un peu mieux que prévu, mais le regret de ces 2 kils au forceps. On fera mieux pour la prépa du prochain marathon au printemps 2024!!.

Trail des hospitaliers

Voici le retour de Eric Fauconnier sur le Trail des hospitaliers de 76 km, le trail à l’état pur !

Le départ est donné à Nant (dans l’Aveyron). C’est une organisation encore familiale sur le parcours historique du fameux trail des Templiers. À la récupération du dossard on voit bien la dernière difficulté qu’il faudra franchir avant d’apercevoir la ligne d’arrivé😩 La météo prévue est bonne

Plusieurs difficultés sont à prévoir sur cette course :
1- pas de ravitaillement solide les 44 premiers kilomètres
2-la montée au mont saint-Guiral qui durera 13 km, avant la descente et le premier ravito solide.
3-apres tout ça : 2 grosses côtes de 400d+ avec un tres fort pourcentage de montée et descente

Le départ est donné à 5h, toute la première partie est assez roulante (20km environ) et sera faite de nuit.
Ensuite on attaque la fameuse montée au point culminant avec un vent à faire envoler toutes les casquettes.
La descente est ensuite assez technique avec beaucoup de pierres et singles.
S’en suis plusieurs points de vue sur les gorges, et une belle descente avec plusieurs cordes pour s’accrocher.

L’avant dernière cotes au km 62 est bien compliquée à monter et j’ai une appréhension pour la dernière au km 70…
Finalement, elle passera mieux mais dans les dernières descentes le genou droit montre des signes de fatigue à force de freiner….
Je dois marcher dans la dernière descente vers Nant.

Quelques chiffres :
133 eme en 11h37
40 abandons sur 500
76 kms 3400 D+ ( et D- )

Au final, une superbe course, très bien organisée grâce aux bénévoles et un sentiment d’avoir vécu le trail le plus difficile que j’ai jamais fait.

Grand raid – Diagonale des fous

Voici le retour de Alexandre Courteix, participant à l’utra trail du grand raid: la mythique « Diagonale des fous »

Jeudi 19/10 20h55 : Dans le SAS n°1 avec des filles et des mecs tous plus affutés les uns que les autres, je me demande un peu ce que je fais là. En bref le stress est à son niveau maximum. 21h, le départ est donné, avec des élites qui démarrent à 3’40/km. L’ambiance est complètement dingue pendant 7km.
Je sais que le risque de ce SAS n°1 est de partir trop vite, alors les yeux sont rivés sur la montre pour ne pas dépasser les 5’30/km. Malgré une chaleur très humide je suis plutôt bien. Vers le 20ème Kilomètre je me dis que je suis trop rapide, en effet je suis dans un petit groupe composé de Ludo POMMERET et sa femme ainsi que Loic JALMIN.

C’est ici que je commets ma première erreur en ne ralentissant pas ! Je suis bien alors je continue comme ça jusqu’au 63eme km ou j’entame la longue descente vers CILAOS.
Il est à peine 13h et je suis arrivée à la première base de vie plutôt en avance sur mes prévisions mais déjà entamé ! Alors que les expérimentés répètent que la course comme ici…

Je prends le temps de me changer, de me restaurer et de me faire manipuler par le kiné parce que ma tendinite au genou commence en m’envoyer quelques signaux.

Vers 14h, je repars pour attaquer la longue montée du TAIBIT et enfin entrer dans le fameux Cirque de MAFATE. Mais là clairement commence un long calvaire… il est 17h45 la nuit tombe et va venir entamer mon mental. Les idées noires commencent à arriver. Je n’avance plus, je commence à être très fatigué et j’envisage même d’en arrêter là! Arrivé à pleine de merle, je me couche 15 minutes mais impossible de dormir malgré la fatigue.

Je pense trop à la course et au calvaire qui m’attend si je n’arrête pas. Après lecture de quelques SMS réconfortant et plein d’énergie de mes enfants, je décide malgré tout de repartir à mon rythme. C’est en vrai zombie que je fais la descente jusqu’à ilet à bourse.

Les hallucinations sont très présentes, les pierres se transforment en bonhommes, les arbres en animaux et je vois à nombreuses reprises un ravitaillement qui n’existe pas. Cette situation est très perturbante.

Arrive une nouvelle montée de presque 1000D+ vers Roche plate, dans laquelle je suis vraiment au fond du trou. Je m’arrête même dormir 10/15min sur le bord du sentier.
Au cours de cette montée mon téléphone sonne. Jusqu’à présent je ne répondais pas mais la, je me dis que c’est quelqu’un qui me connait bien, alors l’appel sera forcement bénéfique. Quelques mots échangés avec lui dont je ne me souviens pas du contenu mais forcément réconfortant une nouvelle fois. Arrivé à Roche plate, je dors une nouvelle fois 10/15 minutes avant de me restaurer et repartir. A ce moment là, j’ai l’impression que cette courte sieste m’a fait un bien fou et je commence enfin à me sentir un peu mieux. Nous sommes samedi et il est 1h de matin.
Ensuite, je me retrouve dans un groupe d’une vingtaine de coureurs pour entamer la descente vers deux bras, 8km d’escalier avec des cailloux mal rangés !

Malgré la difficulté du terrain, le mental commence à reprendre le dessus et j’envisage même d’aller au bout. Petit à petit les jambes reviennent avec quelques sensations positives.
Juste avant deux bras, nous sommes contraints de traverser une rivière avec de l’eau jusqu’aux genoux.

Jusqu’à présent je n’ai eu aucun problème d’ampoule, j’espère que les quelques kilomètres avec les pieds mouillés ne sera pas le début. Il est 5h30 après un peu plus de 32h de course j’arrive à la seconde base de vie, ou je récupère mon second sac.

C’est à ce moment que je me dis que c’est gagné même s’il reste 40km. Je ferai un arrêt éclair sans même me changer (plus tôt je repars, plus tôt je serai arrivé). Malgré les 850D+ de la montée de DOS D’ANE et ses échelles. J’avale les kilomètres avec une grande détermination, à tel point que je gagne 36 places et passe le ravitaillement bien avant les prévisions, ce qui me privera de voir les copains ainsi que m’a chérie qui me loupent de quelques minutes. J’arrive à la possession, KM 145, je retrouve les copains et ma chérie qui m’attendent avec une barquette de fraises et un schwepps agrume. Ca parait anodin mais que ça fait du bien !! Je prends le temps d’échanger quelques mots sur nos courses avant de repartir avec David qui m’accompagnera sur le chemin des Anglais, jusqu’à grande chaloupe.

Il reste 15km pour l’ascension de COLORADO et la descente vers la redoute. Cette partie de course n’est pas très intéressante, mais le dénivelé est bien présent avec une dernière descente très technique.
Il est 15h20 et je commence à entendre l’effervescence du stade de la redoute. Il reste 800m pour passer la ligne d’arrivée!

800m pendant lesquels je vais me remémorer les moments difficile de la course, avant que les émotions prennent le dessus !
42 :26 :10 je passe la ligne d’arrivée en me faisant remarquer par LUDO COLLET qui applaudie ce petit saut de joie. Quel bonheur… c’est incroyable JE SUIS UN FOU ! j’ai tellement rêvé de ce moment!

Championnats de France du 5 km route

Le 22 Octobre 2023 se tenaient les 2èmes Championnats de France du 5 km route à Saint Omer (Pas de Calais).
Voici le retour de Laurence Boucher :

Après avoir réussi les minimas lors des qualifications régionales à Prunier en Sologne en septembre, me voilà sur la ligne de départ de mes 1ers championnats de France de course sur route ! Super organisation, super ambiance! Bravo les ch’tis ! Et il n’a même pas plu!
Un public présent tout au long des 2 boucles du parcours, encouragements garantis !

Partie avec la vague des master femmes, il a fallu jouer des coudes et courir un peu quand même. Mon objectif de RP sous les 20’ est tenu : 19’53 ! Yes ! Je termine 15ème de ma catégorie M1F et 36ème des master 1 (et plus) sur les 124 qualifiées.
Belle 1ère expérience qui donne envie d’aller plus loin😊 Vivement le prochain objectif !

Merci Chaingy Sport Nature de m’avoir engagée sur la course!
Merci Coach Eric Chagnon de m’avoir proposé ce défi et accompagnée jusqu’à l’objectif … parée pour la suite !

Merci mes Chéris d’être là, ce fût un super week-end en famille

Xtrail Corrèze

Voici le retour d’Alexandre Pain :

Samedi 23 septembre avait lieu le Xtrail Corrèze dans la petite ville d’Argentat dans la vallée de la Dordogne. Au programme, 14Km ; 26Km ; 54Km ; 80Km. J’étais initialement engagé sur le 50Km et 2000D+ mais à la réception un mois plus tôt du roadbook m’annonçant 54Km et 2400D+ et vue les annonces faites par des potes qui l’avait fait, j’ai vite revu mon objectif à la baisse en m’alignant sur le 26Km. Et j’ai eu raison.

Les conditions pluvieuses des derniers jours ont rendu le terrain gras. Le terrain s’annonce casse pattes avec une succession de raidillon dont le plus gros fait 400D+. Ce ne sont pas les alpes mais c’est irrégulier, collant. J’en viendrai presque à adorer les pierriers alpins ou pyrénéens. 11h30 le départ est donné aux abords du stade Marcel Celles. oui oui vous lisez bien. Après quelques kilomètres sur les bords de Dordogne, on attaque rapidement le premier tape cul. Le peloton s’étire. S’ensuit un bon single track en descente avec des bons raidillons techniques à passer. On récupère un peu en longeant à nouveau la Dordogne. Vers le 10ème, on rattaque la plus grosse montée cumulant 400D+. Montée rythmée, ultra régulière, le plaisir est au rendez-vous sans souffrance aucune, dans les quadriceps. Au 15ème, voilà l’unique ravito qui pointe le bout de son nez avec l’essentiel du dénivelé qui est absorbé. Les 12 derniers kilomètres s’enchainent sans trop de difficultés avec 5 bons kilomètres de descente où je récupère pas mal de coureurs moins relâchés que moi. Les 3 derniers kilomètres longent la Dordogne. Ils sont interminables !

Je termine cette course de 27,4Km et 950D+ en 3h30. Je vois les progrès depuis le début de l’année avec une prépa au poil menée par le Coach Babass. Je réalise le même temps mais pour 3Km et 300D+ de plus qu’au trail de Chinon début juillet.

Je vous le conseille grandement. L’organisation est aux petits oignons. Le parcours est exigeant mais abordable. Les hébergements se trouvent facilement. La multiplicité des formats permet de partir en groupe hétérogène.